Premier géant trouvé sur notre route ! En pleins champs, Sigrud a trouvé un kart... je crois qu'on aimerait tous pouvoir en faire autant !

Alors là, on ne s'attendait pas à trouver ce troll ici : entouré de fastfoods et d'odeur de friture, à l'intersection de grosses artères, voici la sculpture du sculpteur... Cadre vraiment pas terrible, mais belle rencontre malgré tout !

Quel troll, magnifique, n'est-ce pas ?

Comment ça vous ne voyez rien ? Etrange... Vous êtes sûrs ?

Première chasse dont on revient bredouilles ! Il paraît qu'on n'était pas bien loin, qu'il suffisait de grimper une pente assez sévère et que le troll était à quelques mètres de nous. Sauf qu'entre malentendus et pieds mal chaussés, on n'a pas tenté... d'autant plus qu'on ne savait pas qu'on était au bon endroit. Tant pis ! ça nous a permis de faire une jolie balade le long d'un lac et de découvrir un parc très sympa.

Un peu plus de chance cette fois-ci : difficile de les rater, Laura et Julian sont posés sur une grande étendue d'herbe, en bord de mer. Le cadre est plutôt dynamique, de nombreux enfants jouent dans l'aire de jeu à proximité, des plus grands utilisent les trolls comme support pour leur filet afin de jouer à la balle ou de faire de la slackline.

Fin de journée et lumière décroissante, il n'empêche que ce nouveau troll, entouré de vaches auprès d'un petit village paisible, est bien sympathique !

A l'opposé des tous premiers trolls rencontrés sur la route, qui s'amusaient en pleine nature, nous sommes ici au cœur de Copenhague, dans le quartier alternatif Christiania. Les photos y sont interdites, mais il semblerait qu'il y ait une tolérance face à George, alors j'ai fait comme les autres : je l'ai immortalisé dans mon téléphone. Les filles n'ont pas vraiment apprécié l'ambiance de ce lieu : bien qu'ouvert à tous, du moins en journée, et malgré les nombreux touristes, on fait tache. Déambuler dans les rues d'un immense squat devenu ville plus ou moins autonome dans la ville nous a donné l'impression d'aller observer des gens (au demeurant souvent avinés ou high) et leur mode de vie en marchant sur des œufs... Bien loin des ambiances rencontrées dans des lieux a priori similaires (à Paris et en France), nous ne nous sommes pas attardés. Pas la meilleure prise de notre chasse !

A deux pas de notre camping, nous faisons la rencontre de Sleeping Louis, qui bâille aux corneilles, confortablement allongé sous les arbres. Pas de grande difficulté pour le trouver ! C'est le premier d'une journée consacrée à la recherche de ses congénères.